Elle aurait le loisir de crier,de se débattre et de pleurer.
    
    On la laisserait respirer,mais quand elle aurait repris haleine,
    
    on recommencerait, jugeant du résultat non par ses cris ou ses larmes,
    
    mais par les traces plus ou moins vives et durables
    
    que les fouets laisseraient sur sa peau.
    
    
  
Histoire d'O