bonjour Maitresse ANAIS , bonjour cloé . c est un veritable bonheur que d etre ainsi soumis au bon plaisir de Maitresse

Il y a deux semaines, je me suis rendu chez un plombier pour prendre rendez-vous pour réparer mon chauffe-eau. Il fallait attendre un mois ou être disponible tard le soir. Entre temps, j’ai eu un accident de voiture. Comme les assurances sont chères, j’ai dû payer les réparations non couvertes. Du coup, il ne me restait pas assez pour payer le plombier. Je suis retourné à son magasin mais, c’était fermé. J’ai essayé plusieurs fois de téléphoner : aucune réponse.
Le jour du rendez-vous, le plombier s’est pointé. Je lui ai expliqué la situation et, posant une main sur mon cul, il a dit qu’on pouvait s’arranger.
Il m’a pris les bras et les a mis le long de mon corps. Il a défait la ceinture de mon pantalon et l’a laissé tomber à terre. J’ai tenté de le retenir mais il m’a mis les bras dans le dos. Il a soulevé mon T-shirt et m’a embrassé sur le torse et dans le cou. Au lieu de me l’enlever, il a retourné le T-shirt sur mon visage. Il a saisi mon slip par les côtés et l’a fait glisser jusqu’à mes pieds. Ma bite super raide a bondi hors du vêtement. Il s’est mis à genoux et a léché mes couilles. Puis il a pris ma bite dans sa bouche et je me suis senti le corps tout raidi. Quand le plaisir commença à monter, il relâcha ma queue. Il me retourna, écarta mes fesses et lécha mon trou. De temps en temps, il y introduisait un doigt pour vérifier sa souplesse. L’état d’excitation dans lequel je me trouvais m’empêchait de réagir à cette intrusion. Au bout de quelques secondes, il fit pénétrer deux doigts dans mon cul, puis trois. Enfin, il se releva et me prenant par la main, il me conduisit jusqu’à l’évier de la cuisine. Il me courba et posa mes mains sur mes hanches.
- Ouvre-toi ! Me dit-il.
J’ai écarté mes fesses et il a promené sa bite le long de la raie. En remontant, il a posé le gland sur mon trou et, me tenant par les hanches, il s’est enfoncé en moi. Il m’avait tellement bien assoupli avec ses doigts, que sa queue est entrée tout entière dans mon cul et sans que j’aie mal. Pour bien me montrer qu’il était le maître du jeu, il me fit écarter les fesses au maximum et poussa de toutes ses forces pour que ses hanches s’écrasent sur mon cul. Il passa une main devant moi et saisit ma queue. Maintenant elle touchait ses couilles.
- Tu les sens ? Chuchota-t-il dans mon oreille.
Je hochais la tête. Il passa un bras autour de ma taille et de son autre main, il saisit ma bite. Il se mit à me branler et dans le même temps, je sentis la sienne qui, en glissant, entrait et sortait de mon cul, en cadence avec la main qui me branlait. Je me suis retenu jusqu’à ce que je sente couler le sperme du plombier dans mon cul et, c’est à ce moment-là que je me suis laissé aller dans sa main.
- Je ferai la réparation et toi, tu paieras en nature ! OK ?
Il a mis trois mois (chaque jour dans mon cul) pour se payer le travail qui était terminé au bout de 2 jours.

vidéo : cocufiage_Cuckold in Cage:

http://keyporntube.com/cuckold-in-cage-1358530.html

Karim (lailatvx) est mon mari et ma chose. Ce dernier terme, humiliant lui convient, car il n'est rien à mes yeux. Karim est mon esclave, il m'obéit en tout. Ainsi, j'ai décidé de le conjuguer au féminin. Pour cela, je le persuade qu'il est une femelle, dans son mental et son comportement.
D'ailleurs, il porte les vêtements d'une femme. II est ma chochotte.

Chaque matin, il part à son travail en culotte de dentelle, bas noirs et porte-jarretelles sous son complet impeccable d'homme. A son retour, dès qu'il est dans le hall, il passe une robe ultra courte et enfile des escarpins aux talons très hauts. Puis il va mettre une des perruques que j'ai achetée pour lui. Enfin, il se maquille exagérément, comme une pute.
Quand il vient se montrer, je lui exprime ma satisfaction et le traite en esclave. S'agenouillant, il prend mes pieds l’un après l'autre et les lèche. Quand son insistance m'agace, je lui donne un coup violent de mon pied posé sur son visage, afin de le faire tomber à la renverse.
Je lui menotte les mains dans le dos, à moins que j'exige qu'il se branle. Cet ordre, je le lui donne à n'importe quel moment de la soirée. Lorsque je passe à table et qu'il me sert, il garde la tête basse, il lui est interdit de me fixer au-dessus de la ceinture.
Afin de le rendre malade de désir, j'ouvre les cuisses pour qu'il voie que je ne mets plus de culotte, et qu'il contemple ma chatte qui le fait baver et bander. Cette chatte onctueuse et musclée, qui lui a donné tant de plaisir au début de notre mariage, et qu'il n'a plus le droit de baiser.
En effet, enfoncer sa petite bite mince dans mon fourreau brûlant et mouillé, lui est interdit depuis que j'ai eu la preuve qu'il m'avait trompé avec sa secrétaire. Crime de lèse-majesté majeur. Sur mon ordre, sa secrétaire a été virée sur l'heure, pour " faute professionnelle grave " et j'ai décidé, ce jour mémorable, que nos relations allaient changer. De conjoint, Karim est devenu esclave. C'était à prendre ou à laisser. II a pris, tant pis pour lui ! En adoptant cette solution, j'ignorais alors qu'elle répondait à un besoin de sa nature masochiste. En le punissant, c'était un merveilleux cadeau que je lui faisais. Karim m'adore depuis que je ne suis plus la femme soumise à ses fantaisies, mais sa Maîtresse (avec un M majuscule). Maîtresse, sans majuscules, je le suis pour d'autres mâles que je choisis au gré de mes caprices, sur un coup de cœur ou parce que mon clitoris me démange:
II m'arrive de ramener un inconnu dans ma chambre. Karim, à ce moment, est couché sur le tapis près de notre lit, ligoté comme un saucisson, serré fort, ses mouvements paralysés, bâillonné, couilles et queue liées. Il est comme d'habitude habillé en fille.

Dans cette position inconfortable, il entend tout, le rythme des coups de bite que je reçois, nos paroles obscènes, fiévreuses, mes plaintes, les halètements de mon partenaire. Puis nos orgasmes, lorsque le sperme brûlant du mec emplit mon vagin, lui-même dégoulinant de miel liquide.
Ce jour-là, même si je libère Karim de ses liens après le départ de mon amant, mon esclave n'à pas le droit de se branler. Je l'attache allongé sur le lit et je m'installe confortablement à genoux sur son visage, cuisses écartées, et il est alors autorisé à lécher ma chatte gluante afin de la débarrasser de tout le sperme qui l'emplit.
Alors seulement Karim a droit à sa récompense. M'accroupissant sur lui, étendu sur le dos, je lui pisse au visage. Puis, le ligotant à nouveau, je l'installe dans le réduit noir sous l'escalier, au milieu des balais dont il devra se servir demain pour faire le ménage avant de partir à son bureau.