J'avançais perdue , au hasard des chemins,
Je suivais mon ombre qui s'arrêta soudain
Devant la porte sombre d'un mystérieux donjon
Qui s'empara de mon âme et me fit perdre raison.
Comme envoutée, j'entrais dans la forteresse
Et y rencontra la plus belle des Maîtresses.
Cupidon surgit et me planta sa flèche,
Une botte se tendit afin que je la lèche.
"Maîtresse, pitié! Offrez moi un collier!
Je veux être à vous, pour l'éternité!"
Elle exhauça mon voeu et me fit promesse
D'un destin heureux au bout d'une laisse.
Cloé pour sa Maîtresse
En remerciement pour ton poème, deux tableaux signés ANAIS...
Au Salon de l'érotisme,en passant devant le stand SM,Cloé se retrouva très vite attachée à la croix de st André et exhibée devant la foule...
Moments complétement imprévus mais fort excitants!
Elle adore cela la petite salope!
Fabienne me prêta plusieurs fouets et m'aida à faire rougir les fesses de Cloé qui furent vite zébrées de belles marques,cette chienne en redemanda mais je décidais d'arréter et de la laisser sur
sa faim car le lendemain une longue soirée nous attendait...
Et voilà comment les fesses de Cloé commencèrent le week end...
Après cette mise en bouche nous nous sommes rendus au SMAC,chez mon ami
Bruno.
Et là ce ne fut pas pareil, le rythme changea et je décidais de faire dépasser ses limites à Ma
chienne!
Après cette séance Cloé a pleuré mais de bonheur...
Je suis très fière d'elle et je sais qu'elle peut encore se dépasser pour mon plaisir et le sien.
Dark, ma chose, est venu aussi au chateau des Ombres...
Je l'ai attaché à la grille de la cave voutée et j'ai joué avec lui en le laissant attendre dans le noir, la tête recouverte d'une cagoule en latex, il entendait
seulement les voix des personnes présentes et ne pouvait utiliser que sa bouche!
Il était tres excité par la situation,offert à ma merci et mon bon vouloir...
J'ai joué longtemps ainsi avec son âme avant de prendre posséssion de son corps...
Le corps écartelé, caréssé, battu, Dark aspire à ne faire qu'un avec sa Maîtresse...
Elle aurait le loisir de crier,de se débattre et de pleurer.
On la laisserait respirer,mais quand elle aurait repris haleine,
on recommencerait, jugeant du résultat non par ses cris ou ses larmes,
mais par les traces plus ou moins vives et durables
que les fouets laisseraient sur sa peau.
Histoire d'O
Derniers Commentaires